Elhadj Sekhouna Soumah : une menace pour la paix sociale !

Il est au crépuscule de sa vie mais il ne veut pas aller sans laisser de honteuses traces pour les générations futures : créer le désordre entre des communautés et politiser outrageusement les rapports sociaux et cordiaux qui ont toujours existé entre habitants de la Basse-côte dans son ensemble.

Après avoir tenté, sans succès de s’assagir et donc de s’éloigner du débat politique, Elhadj Sekhouna Soumah se révèle être une grosse menace pour la paix sociale. Non pas pour Kindia seulement, mais pour toute la République. Ses derniers agissements sont loin de pacifier le climat dans la région des agrumes. C’est un patriarche dont personne ne sait quelle mouche l’a piqué parle au nom de la Basse-Côte, alors qu’il est loin de faire l’unanimité, à cause justement de ses excès, de sa phobie, de son mépris et de son caractère hautement tribaliste.

Récemment, selon ce que relaie la presse locale crédible, il est allé trop loin dans la division, sans que la Justice ne s’autosaisisse : « Les Basse-côtiers que nous sommes, Soussou, Bagas, Landoumas, Mikhiforéka, avons compris ! Nous avons accueilli tous les guinéens ici en Guinée-maritime et croyez-moi, bientôt nous allons changer même le nom de certains quartiers tels que Bomboli ou autres. Celui qui n’est pas content n’a qu’à rentrer chez lui. »

Questions : Sékhouna Soumah est sûr de quoi pour en vouloir autant à la percée d’Abdoulaye Bah ? Sékhouna Soumah s’époumone au nom de qui ? Peut-on vraiment prendre au sérieux un tel vieillard à la démence prononcée ?    Son engagement ? « Pour vous dire la vérité, Abdoulaye Bah ne sera pas installé à Kindia. Dans les prochains jours nous organiserons une grande rencontre entre tous les enfants de la Basse-Côte… » Il est temps, grand temps d’arrêter ce patriarche aux abois, avant qu’il ne mette du feu dans le paradis du Kania. Sékhouna doit être coincé dans un enclos, comme il fait comme s’il était un bœuf récalcitrant. C’est maintenant ou jamais ! La paix sociale est à ce prix.

Jeanne Fofana, www.kababachir.com

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