On est mal barré dans ce pays depuis qu’un certain Alpha Condé, opposant historique et président démocratiquement élu est arrivé à la tête de la Guinée. C’est cette idée qui a inspiré la jeunesse de l’UFDG à produire une déclaration dans laquelle elle récapitule les scandales, morts d’hommes, etc. qui ont jonché le quinquennat du prof. Depuis donc l’entame de ce magister, «La Guinée vogue de scandale en scandale », selon l’UFDG, dans une déclaration rendue publique jeudi.
Les jeunes de cette formation politique en veulent pour preuves ceci : Le couple sabary-waymark a produit 56 morts. En novembre 2011 Les tueries de Galapaye (Yomou) font 67 morts ; en février 2012 les tueries de Zogota (Nzérékoré) : 5 morts, en juillet 2013 les affrontements interethniques à N’Nzérékoré : plus de 200 morts ; en février 2014 les affrontements interethniques de Boké : 2 morts ; en janvier 2014 :16 morts à la plage de Lambanyi. En juillet 2014 : 33 morts à la plage de Taouyah ; la mort de plus 400 guinéens tués par le virus Ebola qui apparait pour la première fois en guinée et qui continue à se propager par mépris du gouvernement vis à vis du peuple de guinée. Soit au total : 274 personnes tuées dans des affrontements interethniques ; 56 personnes anéanties lors des manifestations politiques ; 49 morts par manque de lieux de loisirs et de sécurité ; plus de 400 personnes tuées par le virus Ebola par négligence des autorités politique et sanitaire.
Comme si tout cela ne suffisait pas pour disqualifier le président guinéen à la prochaine présidentielle, les jeunes de l’UFDG rappelle autres facteurs nuisible mis à l’actif d’Alpha Condé. C’est entre autres : la fermeture de la SOTELGUI et de l’usine FRIGUIA (fierté nationale). Cérise sur le gâteau, l’UFDG rappelle :
700 000 000 USD de Rio tinto, la disparition des 15 000 000 Euros d’Areeba ; la disparition des 150 000 000 USD de l’Afrique du Sud, etc.
Conséquence, « Soyez certain monsieur le président que le peuple de guinée s’en souviendra lors des élections présidentielles de 2015. »
A bon entendeur salut !
Jeanne FOFANA, Kabanews