Depuis que le général Konaté a rendu les clés du pays, beaucoup d’eau a coulé et continue de couler sous le pont.
Venu au pouvoir alors que le pays était au bord du chaos, le » Tigre » a évité aux guinéens la guerre civile, organisé des élections, respecté sa parole avant de quitter le pays pour son poste à l’ Union Africaine à Addis-Abeba.
Malgré les immenses et loyaux services rendus à sa patrie, l’ officier le plus illustre de l’armée guinéenne continue de faire l’objet d’attaques cyniques et lâches de la part de certains torchons comme » Le Démocrate ». Malgré son désintérêt pour le pouvoir, le général Konaté empêche certains de dormir.
Dans sa dernière livraison, le torchon » Le Démocrate » a inventé des histoires puériles au sujet de la transition que le général Konaté a eu le privilège de conduire en Guinée en 2010.
Au sujet des massacres du 28 septembre, le torchon de Aboubakar Sylla se met à la place du juge pour culpabiliser le général Sékouba Konaté sous prétexte que le » Tigre » était ministre de la défense au moment des faits.
Malheureusement, le torchon n’a aucune preuve pour rendre crédibles ses histoires fabriquées de toutes pièces juste pour tenter de nuire à l’image de l’ancien président de la transition.
Ce que les commanditaires et auteur de l’article n’ont pas du tout aimé, c’est évidemment les voyages retentissants et effrayants du général Konaté au siège de la CPI en mars et juillet dernier.
Eh bien, ce qui est fait est fait. On ne peut revenir sur ça. Le général Konaté a été reçu en grande pompe au siège de la CPI par Fatou Bensouda.
Preuve que le » Tigre » jouit d’un grand respect et d’une grande estime et que sa collaboration est décisive pour la CPI dans l’affaire des massacres du 28 septembre.
Pour le reste, l’hebdomadaire se borne à raconter des histoires à dormir debout, des contes et légendes, baratins, au sujet de la transition de 2010.
Au lieu de perdre son temps à tirer dans l’eau dans l’espoir de salir l’image du général Konaté, » Le Démocrate » aurait mieux fait de dénoncer la cupidité de son fondateur, Aboubakar Sylla.
Leader d’un parti fantôme remorqué par l’ UFDG de Cellou Dalein Diallo, Aboubakar Sylla a la sale réputation d’être un patron qui exploite cyniquement ses pauvres employés.
D’après de nombreuses sources, Aboubakar Sylla est un « vulgaire esclavagiste » qui » utilise » ses employés comme des » bêtes de somme ».
Pire, pendant la transition, ce dernier était ministre de la communication. Pourquoi , il n’avait pas eu le culot de démissionner alors comme les choses se sont mal passées pendant la transition ?
Pourquoi s’était- il précipité bassement sur les 500 millions de francs guinéens et le terrain que l’ Etat avait mis à sa disposition, au même titre que les autres membres du gouvernement de la transition, en vue de les » récompenser » pour le soi-disant travail qu’ils auraient fait durant cette période charnière de l’histoire de la Guinée ?
Qu’on le veuille ou pas, le général Sékouba Konaté est entré dans l’histoire par la grande porte.
Et ce n’est pas » Le Démocrate » qui dira le contraire malgré son intention de réécrire l’ histoire à sa guise.
En vérité, le torchon d’ Aboubakar Sylla entend se servir de l’image de Konaté pour mieux vendre à l’heure où l’actualité est hyper pauvre sur les terres du » professeur » Alpha Condé.
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